Ce cri du cœur est certainement partagé par beaucoup. Et pas seulement par les bipèdes qui se disent humains. Prenons l'exemple de la grammaire française qui édicte des lois pour avoir le plaisir de forger des exceptions...
... [un silence] « Ah bon ?! » On vient de m’apprendre que la grammaire n’est pas une entité vivante autonome, qu’elle avait été fabriquée de toutes pièces par des bipèdes. Mon raisonnement et mon exemple sont donc mauvais. Tout nous ramène aux bipèdes. Ma volonté de partager la révolte de Toto reste toutefois vive. Il faut édicter des lois, des règlements, des codes pour qu’on ait le plaisir de ne pas les respecter, en toute connaissance de cause. Mais point trop n’en faut, on ne saurait plus où donner de la tête, on se disperserait trop à l'instar de la fleur de pissenlit sous le souffle de la brise. Il faut laisser le temps aux désobéissances pour qu’elles se fassent... sinon, c’est le chaos.
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