La rue est à nous, certes. À priori, elle est à tout le monde. Mais qui est ce « nous » anonyme ? Et pourquoi « nous » est entravé par ce lien qui le retient sur terre alors qu’il a une furieuse envie de s’envoler. Est-ce pour ne plus être terre-à-terre et survoler cette rue qui lui appartient (du moins le dit-il) mais dont il ne maîtrise pas tous les aspects, toutes les complexités, toutes les lourdeurs ?
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