aujourd'hui, le C.
Voyons, M. le C, cessez vos obséquiosités. Cessez de vous incliner, de vous effacer ainsi devant celui-ci ou celle-là. C'est énervant à la fin. Êtes-vous vraiment modeste ou est-ce un genre que vous vous donnez, une fausse modestie à deux ronds (ou plutôt deux demi-ronds) ? Et dans quel but alors ? Vous mortifier ? Assez, assez ! vous nous agacez avec ces airs glacés. Ah! vous êtes portier, c'est votre métier... et quand vous avez fini votre journée, vous partez vous entraîner à la savate et au judo, au karaté et à la boxe... Bien, bien, bien, bien, bien... Bien le bonjour M. le C... À vous revoir cher M. C...
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