En banlieue, il y a des murs, et des murs, et des murs... et puis, quand on s'éloigne un peu, en grande banlieue, il y a des murs, et encore des murs et aussi un peu de vert. Et, quand on pousse la banlieue dans ses derniers retranchements et qu'on ne l'appelle plus banlieue mais campagne, il n'y a plus de mur du tout. C'est là que les ennuis commencent pour les tagueurs, grapheurs et autres bombeurs à la peinture. Comment faire quand il y a volonté d'expression mais plus de support pour la faire naître. On se dém... brouille comme on peut, on improvise, on fait avec ce qu'on a. Ça vaut ce que ça vaut... Ici, juste un peu plus que la moyenne... et encore, c'est noté large !
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