Après deux billets un peu longs, et un peu... embêtants à mettre en page, on va se reposer aujourd’hui et poster un billet un peu court, un peu typographique et un peu putassier.
Un retour sur les chats, mais sans chat. « Sans chat, pense O ? », non ! on n’est pas dans du Pauline Réage. « Sancho Pança ? », non ! on n’est pas dans du Cervantes. Sans chat tout court.
On ne le vois pas mais il est là, tapi dans l’ombre, prêt à vous sauter dessus et à vous déchirer de ses griffes acérées jusqu’à vous obliger à fuir loin pour échapper à la douleur et pour lécher vos plaies. Pourquoi ce comportement ? Parce que vous êtes là et que par votre seule présence vous perturbez sa quiétude de chat autonome, libre penseur et libre dormeur.
Le un peu typographique arrive maintenant. Avez-vous remarqué le 36 (qui n’a rien à voir — ni à envier — a[vec] celui du quai des Orfèvres) ? Avec ses petites boules, on dirait des parcours qu’il faut réaliser sans lever le crayon, ou le doigt, du début à la fin. Et le 6, hein ? on dirait un G.
Bon, c’est tout pour aujourd’hui. J’avais dit que ce serait court.
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