Souhaitons toutefois que, suite à cet aphorisme de rideau de fer, à cette tentative d’humour à la fois administratif et ferroviaire, se trouvent moins de T.G.V. que d’énarques dans cette position. Ne serait-ce que pour la bonne santé des passagers du train. Quant aux bipèdes administrés, ils ont sans nul doute fini par comprendre qu’il ne faut pas prendre le train en marche de leurs administrateurs, ils restent prudemment sur le quai, avec ou sans leurs pancartes revendicatives et leurs slogans forgés d’un seul bloc avec rimes et scansions.
P.-S. : Rien à voir avec le sujet ci-dessus. Je viens de me faire remonter les bretelles par ma pouse (pourtant le port de mon pantalon était bien assuré par sa ceinture), paraît que j’aurais dû préciser dans un billet précédent (lien ici) que le lecteur contemporain et participatif avait le droit de proposer une solution au rébus. Ça me paraissait implicite, peut-être ne l’était-ce pas... Ah ben... crotte, zut, flûte ! alors...
Document généré en 1.61 secondes