Avec des mots, des pages, et même des couvertures...
Pour allécher, des extraits :
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à suivre...
Les vrais artistes font beaucoup pour les autres et se contentent de peu en retour. En témoigne cette grande plasticienne émerveillée et ravie de pouvoir recueillir quelques pommes chips tombées à terre lors de la réception somptueuse et méprisante d'un riche nabab. Ainsi, plus riche que Crésus, elle pourra, grâce à son pactole inespéré, manger à sa faim pendant une semaine au moins. Et elle continuera de nous offrir les productions de son talent.
Souhaitons que cette espèce hors du commun ne disparaisse jamais...
La France est un pays merveilleux...
... où dans le moindre coin, il y a des hauts et des bas !
Les typographes et les correcteurs sont tous d'accord, les deux fautes de composition les plus embêtantes sont le bourdon et le doublon. Le bourdon est l'oubli involontaire d'un fragment de texte et le doublon... son doublement.
Le lecteur – même le plus distrait – aura reconnu dans le dessin ci-dessous une œuvre de Louis Forton (1879-1934) tirée de sa « série » la plus célèbre Les Pieds nickelés. Il provient de l'épisode intitulé « Ollé ! Ollé ! Soyons gais ! » qui parut en août 1929 dans l’Épatant. Et le lecteur – qui est loin d'être un imbécile et qui a de la culture – se dit in petto : « Ah ! Croquignol, Ribouldingue et Filochard... »
Mais le lecteur
La typo, on ne la trouve pas que dans des ateliers vieillots. Elle est dans la rue. Elle se fait parfois dans la rue. Ici, c'est le cas. On a de la typo au pied de la lettre. Pas de quoi tomber dans le coaltar... juste de la typo brute de décoffrage, corps 20 douzes, foulage mahous histoire d'épater le passant et de laisser une vraie trace derrière soi. Et le passant dit : « Merci, monsieur le typo des rues pour cette démonstration magistrale ! ».
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