Jacqueline Pascal aimait bien son cousin Victor. Comme elle ne tenait pas à vieillir célibataire, elle décida d'abandonner la vieille demoiselle et ses secrets de polichinelle. Oh, bien sur, son cousin n'était pas le Messie mais mais il avait assez de savoir faire pour que quelques mois plus tard on parle d'eux en les appelant Monsieur, madame et... bébé !...
Voici, enfin démasqué par un photoreporter grassement payé par fornax.fr, l'auteur de l'attentat à la bombe au restaurant Foyot. On le voit ici – le regard dément et le rire sardonique et inquiétant – en train d'allumer la bombe en radis noir diaboliquement fabriquée dans son atelier secret.
La police, hélas, arriva trop tard pour s'emparer du dangereux activiste dont on ignore encore le nom. Il arriva à s'enfuir en modulant un terrible rire, digne d'Olrik ou du professeur Moriarty.
Voici quelques années, on s'en souvient, Philippe Oriol avait tenté de lever le voile sur ce drame affreux. Sans y parvenir tout à fait. Nanti de ce nouveau document, personne ne doute maintenant qu'il ne parvienne à décrypter tous les rouages de cette ténébreuse affaire.
Après leurs magistrales illustrations pour Il était un froid de Charles Lotheur, Esther et Anita, nos deux artistes internationales, récidivent. Mais, conscientes du poids de l'héritage culturel, elles sacrifient à la tradition très formatrice de la copie des œuvres majeures des grands maîtres conservées dans les musées.
Pour un grand artiste, la copie n'est jamais inutile. Mais elle n'est jamais servile. On constatera que nos deux artistes ont exprimé leur univers personnel dans leurs travaux respectifs. Elles ont transcendé l'œuvre originale et pris du recul en traitant le sujet en pied.
On a beau dire, mais l'orthographe fout le camp. C'est inéluctable comme le réchauffement climatique ou la persistance de la stupidité humaine.
Pour ceux – hélas toujours de plus en plus nombreux – qui ne le sauraient pas, on ne doit pas écrire « pha macie » mais « femme assi
Le typographe parisien en balade – nouveau Rétif de la Bretonne – passant le nez en l’air rue des Boulets pourrait voir cette inscription au flanc d’un immeuble moderne. Il s’en offusquerait à coup sûr et à juste titre car tout le monde le sait :
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