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George Auriol
sur l'ultime création
de M. Pullmann
20 pages,
format 11,2 x 13 cm.
tirage à 100 exemplaires en typographie.
CLS
Un volumen,
79 cm de long, 17,5 cm de haut.
tirage à 10 exemplaires en linogravure.
Marie-Rose de France
26 petits textes en proses poétique. Vignettes de CLS.
tirage à 120 exemplaires en typographie au plomb.
Pierre Pinelli
24 pages,
format 15 x 20 cm.
tirage à 100 exemplaires en typographie au plomb.
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Des barbares...
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... for those who are too lazy to seek.
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New, at last... - by cls
J’aime – J’aime pas en édition limitée
par Catherine Chauvel
Quel est le principe de ce livre utile ? Il est très simple :
On aime ses amis. On n’aime pas les décevoir. Pourtant, il peut arriver qu’on les contrarie ou qu’on les mette dans l’embarras involontairement... en leur concoctant avec amour un plat qu’ils détestent ou qu’ils ne peuvent pas manger, ou en abordant un sujet qui les ennuie ou qui excite une mauvaise humeur dont ils s’étaient débarrassés avant d’entrer chez vous.
Ah ! si l’on avait su... Ah ! si l’on avait pu éviter... Ah ! si l’on s’était souvenu...
Ce livre est là pour aider les mémoires défaillantes ou trop pleines, pour aider les amitiés à durer.
L’utilisation de ce « Livre des amis » est intuitive, et n’a pas besoin d’un mode d’emploi complexe. On le confie aux amis ou amies qui peuvent y inscrire, sur une double page, leurs affections et dégouts, sans pour autant qu’ils s’adonnent aux confidences embarrassantes. Aucune obligation pour eux de renseigner toutes les rubriques.
Ainsi, en s’y reportant pour se rafraîchir la mémoire, la prochaine fois qu’on verra l’ami ou l’amie, on évitera de lui faire le plat qui gêne ou d’avoir la conversation qui crispe. On ne peut pas toujours se souvenir de tout...
Cette nouvelle édition de J'aime – J'aime pas, à l'esthétique rafraîchie, est revêtue d'un cartonnage pleine toile réalisé à la main par Catherine Chauvel. Comme le montre la photo, les couleurs des toiles sont très diverses et les papiers des gardes à l'intérieur sont réalisés par elle pour s'accorder avec les couleurs de toile choisies.
J'aime – J'aime pas a obtenu le label 2020 Fabriqué à Paris décerné par la Mairie de Paris.
deux livres avec plein de pages dedans
un sur les typotes et un sur les typos
Le premier confinement n'a pas eu que des désagréments. Il a permis au bonhomme Soulignac de découvrir une revue professionnelle (typo) fin 19e siècle dont il a tiré la substance pour ses deux livres. Le premier des deux est consacré aux typotes (terme d'argot donné aux femmes chargées de la composition typographique plomb). La rédaction de la revue en question était exclusivement masculine (on est en droit de le regretter) et les trois textes repris et présentés dans ce livre ont donc été écrits par des hommes... avec leur fonctionnement cérébral masculin allié à une solide dose des poncifs sur les femmes en vigueur à l'époque. Il faut donc prendre ces textes comme des documents et ne pas les comparer négativement à nos façons de penser contemporaines. Ils montrent avant tout les conditions de travail en milieu ouvrier des femmes de ce temps.
Typotes 19e siècle, 156 p., 15 €
Typos 19e siècle est le pendant naturel des Typotes du même siècle, on s’en serait douté. Mais le tragique que l'on trouve dans les Typotes 19e siècle ne se retrouve pas dans cet ouvrage. Au contraire, l'humour, le farfelu, la bonne humeur, presque le non-sensique s'y affichent à sa place. La revue, intitulée La Sorte, dont sont tirés les trois textes qui constituent le volume a été imaginée pour faire rire. Et avec les bénéfices de ses ventes, cette revue venait (un peu) soulager les malheurs des professionnels du livre dans l'embarras. Des textes débridés, écrits par des typos pour des typos afin d'en soulager d'autres, bourrés volontairement d'incohérences, d'allusions au métier, d'argot professionnel, d'allusion aux événements de l'époque (1890-1909) et aux professionnels célèbres mais qui donnent un éclairage, eux aussi, comme ceux des Typotes 19e siècle, sur la vie des ateliers en ce tournant de siècle. Parmi les célébrités professionnelles, on trouve, entre autres, cachés sous des pseudonymes, Victor Breton (typographe émérite et premier professeur de typographie de l'école Estienne) et son ami Edmond Morin (typographe, historien du livre et fondateur de la bibliothèque des Arts graphiques).
Typos 19e siècle, 352 p., 24 €
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