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Auteurs
Chronologique
Des barbares...
Casses
Divertissements
Fin-de-Siècle
Fourneau et Fornax
Impressions
Typographie
est un éditeur artisan établi en Champagne (dans le petit village de Bannes)
et surtout et avant tout en Île de France (dans le petit village de Paris).
L'atelier de Bannes.
L'atelier de Paris.
toujours le livre
« Il cause, il cause, c'est tout ce qu'il sait faire ! » disait Laverdure. Même si ce n'est pas entièrement la vérité (il sait faire autre chose), il est vrai qu'il va causer, ou plutôt qu'il pourrait causer si un public (restreint, cela va sans dire...) acceptait de l'écouter. Et de quoi il va causer ? Du livre, de son évolution et de sa technique, on aurait pu s'en douter sans qu'il le dise.
Trois conférences, chacune trois fois à trois dates différentes. « C'est beaucoup, ce n'est pas trop. » disait Bobby Lapointe. Les intitulés sont sur la fiche :
Pour plus de renseignements et les programmes complets, on va sur cls-typo...
P.-S. : « Les citations me tapent sur les nerfs. » disait Thomas Bernhard. Promis, la prochaine fois, j'oublierai d'en faire.
toujours le livre
« Il cause, il cause, c'est tout ce qu'il sait faire ! » disait Laverdure. Même si ce n'est pas entièrement la vérité (il sait faire autre chose), il est vrai qu'il va causer, ou plutôt qu'il pourrait causer si un public (restreint, cela va sans dire...) acceptait de l'écouter. Et de quoi il va causer ? Du livre, de son évolution et de sa technique, on aurait pu s'en douter sans qu'il le dise.
Trois conférences, chacune trois fois à trois dates différentes. « C'est beaucoup, ce n'est pas trop. » disait Bobby Lapointe. Les intitulés sont sur la fiche :
Pour plus de renseignements et les programmes complets, on va sur cls-typo...
P.-S. : « Les citations me tapent sur les nerfs. » disait Thomas Bernhard. Promis, la prochaine fois, j'oublierai d'en faire.
et tout est repeuplé
La typographie, c'est un peu mon dada, du moins celle qu'on peut voir dans la rue, ceux qui fréquentent un peu ce site le savent ou ont fini par le constater. Une histoire de typo, donc... qui se passe dans la rue...
Une histoire qui date de février 2020, juste avant la déclaration de guerre de coronaviro, coronavira et coronavirette... Autant dire qu'on était dans un autre monde. Un monde insouciant et guilleret, un monde où tout le monde restait à sa place. Les bourgeois bourgeoisaient sans arrière-pensée, les politiques s'interpellaient entre eux sans s'occuper du reste, les policiers polissaient leur image, les ouvriers ouvraient, les employés s'employaient, les jeunes jeûnaient, les chômeurs chômaient, les SDF manchaient main tendue en direction des passants qui passaient (et regardaient ailleurs), tout fonctionnait de manière logique et attendue, selon des règles non écrites mais bien huilées, répétitives, usuelles.
C'était une époque où les restaurants restauraient les passants qui arrêtaient de passer pour s'asseoir devant des assiettes pleines qu'ils avaient pour obligation de vider sur place. C'était un temps où les commerces pouvaient changer de nature en passant d'un exploitant à un autre. Comme ici, où l'on peut constater l'intelligence, la malignité, et le clin d'œil au passant qui passe du repreneur d'une boucherie chevaline pour en faire un restaurant par la simple substitution d'un v en un Z. Magnifique économie de moyen, élégance absolue...
L'endroit est situé dans le petit village de Paris, rue de la Roquette, peu avant qu'elle n'arrive sur la place Léon Blum où se trouve la mairie du 11e arrondissement. On n'est pas retourné devant cet endroit depuis la prise de vue ; on espère qu'il existe toujours.
et tout est repeuplé
La typographie, c'est un peu mon dada, du moins celle qu'on peut voir dans la rue, ceux qui fréquentent un peu ce site le savent ou ont fini par le constater. Une histoire de typo, donc... qui se passe dans la rue...
Une histoire qui date de février 2020, juste avant la déclaration de guerre de coronaviro, coronavira et coronavirette... Autant dire qu'on était dans un autre monde. Un monde insouciant et guilleret, un monde où tout le monde restait à sa place. Les bourgeois bourgeoisaient sans arrière-pensée, les politiques s'interpellaient entre eux sans s'occuper du reste, les policiers polissaient leur image, les ouvriers ouvraient, les employés s'employaient, les jeunes jeûnaient, les chômeurs chômaient, les SDF manchaient main tendue en direction des passants qui passaient (et regardaient ailleurs), tout fonctionnait de manière logique et attendue, selon des règles non écrites mais bien huilées, répétitives, usuelles.
C'était une époque où les restaurants restauraient les passants qui arrêtaient de passer pour s'asseoir devant des assiettes pleines qu'ils avaient pour obligation de vider sur place. C'était un temps où les commerces pouvaient changer de nature en passant d'un exploitant à un autre. Comme ici, où l'on peut constater l'intelligence, la malignité, et le clin d'œil au passant qui passe du repreneur d'une boucherie chevaline pour en faire un restaurant par la simple substitution d'un v en un Z. Magnifique économie de moyen, élégance absolue...
L'endroit est situé dans le petit village de Paris, rue de la Roquette, peu avant qu'elle n'arrive sur la place Léon Blum où se trouve la mairie du 11e arrondissement. On n'est pas retourné devant cet endroit depuis la prise de vue ; on espère qu'il existe toujours.
Alexandre de Tours
& Charles d'Écoman
156 pages,
format 15,2 x 22,8 cm.
Impression numérique.
Collectif
352 pages,
format 15,2 x 22,8 cm.
Impression numérique.
CLS
serait-il permis
16 pages,
format 10,5 x 7,4 cm.
100 exemplaires.
(cliquer sur les images
pour en savoir plus)
Fourneau
Fornax
... pour ceux qui auraient la flemme de chercher.
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Fornax éditeur 18, route de Coizard, 51230 Bannes – 37 bis, rue de Montreuil 75011 Paris – France