En passant :   Quelqu'un de brillant, est-il lumineux ?   Soulignac
Les petits derniers...

George Auriol
Tuyau
sur l'ultime création
de M. Pullmann

frnx-284-mini.jpg

20 pages,
format 11,2 x 13 cm.
tirage à 100 exemplaires en typographie.
21 €

 __________

CLS
A pas feutrés

frnx-281-mini.jpg

Un volumen,
79 cm de long, 17,5 cm de haut.
tirage à 10 exemplaires en linogravure.
250 €

 __________

Marie-Rose de France
Dits

frnx-283-mini.jpg

26 petits textes en proses poétique. Vignettes de CLS.
tirage à 120 exemplaires en typographie au plomb.
60 €

 __________

Pierre Pinelli
Molitor

frnx-280-mini.jpg

24 pages,
format 15 x 20 cm.
tirage à 100 exemplaires en typographie au plomb.
60 €

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—♦—

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CLS-bois

Le livre commenté

Marie-Rose de France
Dits

frnx-283-mini.jpg

36 p., format 10 x 14 cm.
composé et imprimé en
typographie au plomb
Tirage à 120 exemplaires.
60 €

(cliquer sur l'image
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Le A  -  par cls

Au commencement de la typo était l'alphabet,
aujourd'hui, le A.

Le A

La classe est plutôt nombreuse. Et quand le prof crie pour se faire entendre car ils sont tous dans le fond, presque collés au mur, en train de discuter entre eux sans se préoccuper de ce que veut l'autre qui s'agite au bout de la salle : « Qui veut être au commencement du commencement ? », les conversations s'arrêtent. Le silence se fait, pesant. Quelques regards courroucés. Quelques ricanement. Puis le bourdonnement reprend. Puis une discussion. Puis une dispute. Puis une bagarre. « Quand vous aurez fini de vous battre, le K... Qui est resté à terre ? C'est vous, le A ? Vous saignez et vous êtes tout cabossé, Allez vous faire soigner chez l'infirmière. Elle vous mettra un petit coup de décapage, puis un petit coup de peinture. Et pour vous punir, ce sera vous le commencement du commencement ! Allez... allez... » Un œil noir au beurre noir en direction du braillard. Il se relève. En sortant, sa voix grondante lance « Banco ! »

Publié le 05/11/2010 @ 22:28  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
Chez les éditeurs [3]  -  par cls

Bibliotératologie, 7
Quand tous concourent à la monstruosité, éditeurs, brocheurs ou relieurs, amateurs :
les grands papiers

Bien sûr, cela commence chez l'éditeur. Avec l'appât du gain et la stupidité en prime. Pour payer l'achat du papier de l'édition, ou une partie de ses frais, l'éditeur imprime (ou fait imprimer) un nombre limité d'exemplaires d'un livre sur un papier plus beau que celui de l'édition courante, c'est ce qu'on appelle les exemplaires de tête. Ils sont vendus plus cher, ce qui est normal en raison de leur relative rareté. Jusque là rien de répréhensible ni de stupide. Tout le monde y trouve son compte. Les éditeurs qui gagnent un peu d'argent. Les amateurs qui ont la fierté de posséder un ouvrage rare. Jusqu'aux bibliothécaires et conservateurs qui apprécient la plus grande solidité et la plus grande durabilité des papiers de luxe choisis. La dérive et la stupidité viennent après. Les feuilles des papiers de luxe utilisés pour faire les exemplaires de tête n'ont pas toujours le même format que celles du papier utilisé pour les exemplaires ordinaires. La logique voudrait qu'on choisisse deux formats de feuilles égaux ou que l'on coupe le papier de luxe au même format que le papier ordinaire. Ce serait trop simple. On ne prend, bien sûr, jamais du papier de luxe dont le format est inférieur à celui du papier ordinaire. Ce qui serait ridicule, on ne pourrait pas fabriquer l'ouvrage, ou pis on risquerait d'imprimer dans le vide. Mais si le papier est plus grand, même beaucoup plus grand, il est parfois décidé de ne pas le recouper et on imprime sur ce papier plus grand. C'est ce qui est à l'origine des grands papiers. Les feuilles imprimées sont apportées chez le brocheur qui ne peut faire autrement que de les plier de la même façon que les feuilles de tirage sur papier ordinaire, ce qui conduit à créer des feuilles pliées (des cahiers) dont certaines parties sont au format réel du livre et dont d'autres en dépassent peu ou prou, tout dépend de la différence de format entre les deux papiers. Maintenant, pour mieux être compris, prenons un exemple.

Instructions aux domestiques, 1

On ne parlera pas ici de la qualité littéraire de cet ouvrage (qui, au demeurant, est excellente) mais de son aspect. À première vue, ici, rien d'effrayant. Une petite déchirure sur le dos, les inconvénients de l'âge. Quelques pliures disgracieuses toutefois dans la partie inférieure de la couverture.

Instructions aux domestiques, 2

C'est lorsqu'on regarde l'ouvrage de dessus que l'on commence à voir les choses. On s'aperçoit aisément des deux dimensions différentes des pages. La plus courte étant la dimension normale de l'ouvrage. Dans le cas présent, l'éditeur à choisi de masquer cette augmentation du format du livre en imprimant des couvertures dont les dimensions augmentées tiennent compte des parties dépassantes. Ces dépassement, bien que visibles, étant d'une proportion raisonnable, le livre garde encore un aspect correct.

Instructions aux domestiques, 3

Du moins quand le livre est entrouvert. Car dès qu'on tente de le refermer, les parties dépassantes entourées de vide peuvent se déformer, se courber comme on le voit ici. Ce qui n'est pas du meilleur effet pour un ouvrage de luxe. On a affaire ici à la partie supérieure de l'ouvrage, la tranche de tête comme disent les professionnels.

Instructions aux domestiques, 4

Là où ça se gâte vraiment, c'est lorsque les cahiers dépassent aussi dans la partie inférieure du livre (tranche de pied disent les imprimeurs, tranche de queue disent les relieurs). Comme le livre au repos est rangé verticalement dans la bibliothèque, l'ouvrage s'abîme obligatoirement, ou bien alors on le range la tête en bas ce qui, on l'avouera, n'est pas très naturel ni très pratique si l'on n'est pas rompu à la lecture du dos du livre la tête en bas. Prenons maintenant un autre exemple.

Pa-Hos et Zu'ella, 1

Un grand papier encore mais deux caractéristiques le font un peu différer du précédent. La couverture est au format réel du livre (celui des exemplaires ordinaires) et le papier dont on s'est servi pour elle n'est pas encollé et lisse comme celui utilisé pour l'ouvrage précédent. Il est plus mou, plus vaporeux, plus aéré, plus buvard. Quelques conséquences à ces choix de nature et de format de papier de couverture. Outre le fait que cet exemplaire a été conservé dans le passé dans un endroit humide, ce qui a eu pour conséquence de le consteller de taches de rousseurs, la nature du papier de couverture fait qu'il accroche bien la poussière et qu'il refuse de la rendre en totalité même sous l'effet d'un radical gommage, et son format laisse dépasser l'intérieur de l'ouvrage qui ainsi s'empoussière de la même façon.

Pa-Hos et Zu'ella, 2

Un gros plan du livre permet de mieux remarquer les taches de rousseurs, les auréoles de mouillure et la poussière. Passons au livre suivant.

Le Haoma, 1

Avec ce troisième ouvrage, le grand papier affirme en plein son ridicule. La couverture s'allonge pour tenter de couvrir les dépassants mais sans arriver à ses fins. La ligne plus claire sur son côté droit dessine, avec les trois autres côtés le format réel de l'ouvrage. Elle permet de constater que les parties dépassantes du format ordinaire ont une dimension à peu de chose près égale en largeur à celle de l'ouvrage en son état normal.

Le Haoma, 2

Vu de dessus, l'impression générale n'est pas meilleure et le ridicule tout aussi achevé. Passons enfin au dernier exemple de cette courte étude.

Théâtre de Francis de Croisset, 1

Avec lui, le relieur a apporté sa contribution au ridicule. Pourtant, au premier coup d'œil, tout semble normal. La reliure, demi-peau à bande, semble remplir ses bons offices de protection du livre. Que lui demander de plus ? L'ouvrage semble un peu massif, carré, mais il n'est pas le seul dans son cas... Si l'on regarde de plus près, toutefois, on s'interroge sur la courbure étonnante des côtés supérieur et inférieur du plat.

Théâtre de Francis de Croisset, 2

L'ouvrage vu de dessus, le doute n'est plus possible, on a bien affaire à un grand papier relié. La partie normale du livre permet, aux plats de reliure de se conserver comme avec toute reliure ordinaire mais la partie dépassante ne maintient plus rien et le carton des plats finit par se déformer, n'étant pas tenu, et prendre la forme d'un gauche fuseau.

Théâtre de Francis de Croisset, 3

Vue du dessous, la situation n'est pas meilleure et les épidermures débutantes contribuent à donner au livre son aspect bancal et maladif.

Que dire de plus sur les grands papiers. Que ces objets bibliophiliques non identifiés sont des aberrations, tout le monde l'aura compris. Que faire, maintenant face à eux ? Plusieurs solutions s'offrent à nous. Si on les voit chez un libraire, ne pas les acheter. Si le mal est déjà fait et qu'on a une sainte horreur de modifier quoi que ce soit dans l'apparence d'un livre, le cacher dans le fond d'un placard et ne plus jamais l'en sortir. Si l'on ne répugne pas aux modifications, couper tout ce qui dépasse. L'ouvrage s'en trouvera ragaillardi, il sera redevenu un livre ordinaire, lisible.

Publié le 04/11/2010 @ 23:23  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
Lassicope  -  par cls

Nous tenons à annoncer à nos rares lecteurs que M. Saturnin Lassicope dont nous avons passé récemment un billet ne fait désormais plus partie des collaborateurs occasionnels de ce site. Des raisons extérieures mais impératives nous ont conduit à cette regrettable, mais assumée, décision.
cls

Publié le 04/11/2010 @ 15:45  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
Crise  -  par cls

Povera

C'est la crise. Le prix de la merde chute... et Piero Manzoni est mort.

La merde<

Publié le 03/11/2010 @ 23:37  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
De nos auteurs : Jacques Abeille  -  par Saturnin_Lassicope

J'ouvre exceptionnellement cet espace où d'ordinaire j'évolue seul (si l'on excepte quelques rares commentaires) à un ami peu disert d'ordinaire, un peu secret, pour ne pas dire fuyant. N'étant pas un censeur, je lui laisse carte blanche.
cls

Les yeux de l'imagination

On a beau s'être posé des œillères très efficaces, et en user, et en abuser, il arrive nécessairement un moment où l'on est obligé d'en convenir : les pratiques du monde changent. Affaire de déclic, d'élément déclencheur, cette information que l'on se cachait à soi-même finit par arriver à la conscience, et par s'imposer qu'on le veuille ou non.

1982. Grâce à la clairvoyance de Bernard Noël, Jacques Abeille publie enfin son premier roman : Les Jardins statuaires. Chez Flammarion. Peu de réactions.

Les Jardins statuaires

2004. Joëlle Losfeld, courageuse, décide de publier à nouveau ce premier roman (il y en eut bien d'autres entre temps), prévoyant aussi de donner ou redonner les autres romans. Peu de réactions. Et le projet ne se fit pas.

Les Jardins statuaires

2010. Une troisième édition voit le jour, inaugurée par une couverture dessinée par François Schuiten. Elle se double d'une œuvre originale, les Mers perdues, cosignée par le piéton de Bordeaux et le baron bruxellois. Littérature et dessins. Et l'on en cause.

Le déclic en moi s'est opéré. Oui, c'est enfin arrivé à ma conscience : nous sommes – et j'ai l'obligation de dire : hélas – bien passés de la civilisation de l'écrit à celle de l'image. Les Jardins statuaires ont été publiés par deux fois dans une quasi indifférence. On associe leur auteur à un artiste de grand talent et de grande renommée et on commence à butiner autour de l'Abeille. Ce qui est bénéfique pour lui (et l'on ne peut que s'en réjouir, ce que l'on fait entre ces parenthèses) mais triste pour la littérature. En France, il est courant de dire que le succès n'arrive qu'à force d'abaissement, de renoncement et de compromissions. Que les quelques vieux lecteurs se rassurent, la littérature de Jacques Abeille n'a rien perdu de son charme ni le récit de son éclat. Pour les autres, qu'ils découvrent, ils ne seront pas déçus.

Cela dit et affirmé, je déplore que la puissance seule des mots ne soit plus capable d'attirer l'attention du lecteur. Ou qu'on nous le fasse croire. Je déplore qu'il lui faille désormais de l'image comme béquille à l'imagination. Ou qu'on nous le fasse croire. Pourtant les mots de Jacques Abeille sont si justes, sa langue est si forte, son imagination est si surprenante que les images semblent bien inutiles. Les mots seuls les créent. De leur simple lecture se dégagent des images mentales dans la tête de chaque lecteur. Images inédites, privées, originales, personnelles. Pourquoi donc alors imposer à tous des images – belles, certes, fascinantes parfois, magistrales de temps en temps – mais des images stéréotypantes (qu'on ne me fasse pas dire stéréotypées), des images tueuses d'univers personnels. La force incomparable de la littérature réside en ce qu'elle permet la naissance d'autant d'univers qu'il y a de lecteurs. L'illustrer, c'est l'affadir, c'est lui supprimer des virtualités, c'est la normaliser à la perception de l'artiste qui illustre. C'est réduire des potentialités infinies à une vision imposée. C'est frustrer le lecteur de sa propre imagination. Situation d'autant plus grave que l'artiste a du talent ; d'autant plus grave que l'écrivain est puissant et que son univers littéraire est original. Une situation qui favorise la paresse d'un lecteur qui ne prend désormais plus la peine de se forger sa propre représentation. Une situation qui contribue – nous l'affirmons du bout des lèvres et avec d'invisibles guillemets mais nous l'affirmons toutefois – au formatage des cerveaux.

Illustrer un Max du Veuzit, peu nous importe bien sûr, que ce soit réalisé par Peynet ou par Leonard de Vinci ; illustrer un Jacques Abeille, c'est une autre affaire. Quittons, à des fins d'illustration (!), Abeille pour un autre auteur mis en image par un autre artiste. J'ai eu le malheur de découvrir la Divine Comédie dans l'édition illustrée par Gustave Doré. Admirables dessins, remarquables gravures sur bois, époustouflante édition. Mais les images puissantes de Doré se sont si fortement imposées en moi qu'elles ont effacé la silhouette de Dante, et ses vers. Quand je pense à la Divine Comédie, ce ne sont pas mes propres images que je vois, forgées à partir de la lecture du poème mais les tourbillonnantes cohortes d'âmes tourmentées que Doré imagina pour l'Enfer. Et c'est réellement infernal – car rien n'y fait –, mon esprit y revient toujours. Doré m'a volé Dante. Il faudrait que je me le réapproprie, mais comment ? En apprenant le vieux florentin et en le lisant dans sa langue d'origine ? Oui, pourquoi pas... Un autre exemple, différent. Alice, celle qui batifole au pays des Merveilles ou derrière le miroir, est blonde. C'est ainsi que l'a décrite le révérend Dogson. Mais les photos qu'il fit d'Alice Liddell montrent une petite brune aux cheveux courts. Depuis que j'ai découvert les photos, les deux images d'Alice se superposent en moi et, lorsqu'il m'arrive de voir des adaptations ou des illustrations tirées des romans, quelque chose me gêne dans cette blondeur voulue par l'auteur et toujours respectée par les illustrateurs. Elle ne colle pas à la « réalité ». Deux points dans cette anecdote. Le premier manifeste la puissance de l'image qui s'impose, même contre toute vérité. Car la vérité d'Alice est la blondeur même si la réalité du modèle est brune. Quand vérité et réalité se confondent, tout va bien ; le hiatus naît de leur différence. Le second montre que lorsque la multiplicité des interprétations passe un certain seuil, (les interprétations d'Alice sont innombrables) le lecteur (ou, dans le cas présent, le regardeur, le spectateur) n'est plus vraiment influencé par un modèle puisqu'il a déjà intégré tous les autres avant. Aucune image ne lui est plus imposée puisqu'il les a toutes à sa disposition ; il peut alors se tourner vers lui-même et forger son interprétation, son image propre à partir des mots quand il en revient au texte.

De cette anecdote, et plus généralement de ce que j'ai dit plus haut, je ne tirerai, en guise de conclusion, qu'une alternative : ou l'on publie la littérature de Jacques Abeille seule, pour laisser au lecteur le plaisir solitaire d'imaginer ses propres images, ou l'on multiplie les illustrations et les illustrateurs à l'envie pour que, noyé sous le flot d'images, le spectateur se tourne à nouveau vers le texte et redevienne lecteur. Malgré son côté onaniste, j'aurais tendance à préférer la première solution ; notre époque ira, sans l'ombre d'une hésitation, en direction de la seconde, beaucoup plus facile. Allez les peintres, à vos pinceaux ; allez les dessinateurs, à vos crayons. Jacques Abeille arrive. Enfin !...

Je ne suis qu'un modeste typographe. Un homme dont l'existence est vouée aux mots et qui ne vit que par eux. D'aucuns, et pas des moindres, m'ont accordé le don de folie. C'est faux, bien sûr, et je le regrette fort. Mais je laisse dire car j'ai la permission, sous ce couvert, de dire ce que je pense en minimisant les conséquences dans mes rapports avec les autres.

Saturnin Lassicope

Pour complaire :
Jeu graphique. Trouver l'intruse dans toutes ces couvertures.
Cette iconographie peut également servir de base à
une bibliographie méli-mélo (et fort incomplète)
de Jacques Abeille

(certaines couvertures ont des liens qui conduisent à des compléments d'information)

L'Appartement

L'arizona

Le Cadeau

Calembour

Un carnet d'excursion

Celles qui viennent avec la nuit

A chacun sa librairie

Chroniques scandaleuses de Terrèbre

Chroniques scandaleuses de Terrèbre

La Clef des ombres

La Crépusculaire

Divinité du rêve

L'Écriture du désert

L'Ennui l'après-midi

Les Carnets de l'explorateur perdu

Fable

Famille-famine

La Guerre entre les arbres

L'Homme nu

Sous réserve d'inventaire

Un cas de lucidité

Les Lupercales forestières

Mary Morgane flibustière aux seins libres

Les Abeilles de Virgile

Des nouvelles de Deleatur

Le Peintre défait par son modèle

Un beau salaud

Revolving

Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas

Sheherazade sans retour

Le Veilleur du jour

Le Veilleur du jour

Les Voyages du fils

En mémoire morte

Veuves

Le Fil du fleuve

Blason

Le Gésir

Carte provisoire des Contrées

Publié le 02/11/2010 @ 17:04  - 4 commentaires - 4 commentaires - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
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