La saleté est dans le regard, pas dans le mot.

Nous sommes tous inoubliables. Souvenons-nous en !

De récentes fouilles sur le désormais très célèbre site préhistorique du 37 bis, rue de Montreuil à Paris-France ont permis de mettre au jour une vignette cœur floral en silex taillé qui prouve sans aucune contestation que la typographie, en particulier le décor typographique, a commencé bien plus tôt qu'on ne l'affirmait auparavant. On peut, grâce à cette découverte, faire maintenant remonter cet art au paléolithique moyen (de 300 000 à 30 000 environ). Les fouilles continuent pour déterminer dans quelles conditions le cœur floral était employé et à quel usage il était destiné (médical, artistique, religieux, etc.).

Une histoire et un livre qui ne sont pas comme les autres. Pour en savoir plus, il suffit de suivre dans son voyage intergalactique ce noble représentant de la planète Cerise...

On apprendra, grâce à ce voyage, qu'avoir les boules peut être synonyme de joie et que débouler n'est pas toujours synonyme d'arriver... Pas si mal, non ?

D'un seul coup... sans se laisser le temps de respirer. Est-ce bien raisonnable après trois ans d'inactivité de la collection ? Oui, justement, c'est raisonnable. Il fallait bien trois volumes pour contrebalancer ces trois ans de sommeil. On a la pleine forme quand on se réveille, faut en profiter ! Et on ne s'arrêtera pas en si bon chemin. D'autres volumes sont prévus avant la fin de l'année. 2007 sera vert !

  

Si le troisième de ces nouveaux volumes – L'Absinthe grenadine de Paul-Napoléon Roinard – n'inaugure pas un genre nouveau dans la collection (la poésie y avait déjà fait son entrée avec la Complainte de la vie en vert) tout en apportant une note de couleur différente et des rythmes nouveaux, le deuxième ouvre, sans complaisance et avec un brin de cruauté, celui des comptes rendus scientifiques et médicaux. Le docteur Magnan (premier directeur de Sainte-Anne) fut un des plus farouches opposants à l'absinthisme dont il étudia les effets grâce à la méthode expérimentale de Claude Bernard. Le premier volume, lui, nous rattache à la lexicographie et à l'encyclopédie. Il tente de nous rassurer au sujet des dangers potentiels de l'ingestion de la glauque boisson.

Maintenant qu'on est informé sur les trois derniers volumes de la collection, on peut en apprendre plus en lisant l'article consacré à ses origines : La collection verte.

Forte de ses 12 volumes, la collection clôt un cycle avant d'en commencer un second. Catherine Chauvel relieur, ce que voyant, décida dès lors d'emboîter notre douzaine. On en voit ci-dessous le résultat (prendre contact directement avec elle si l'on est intéressé).